23 septembre 2007
Le « nul ailleurs »
L’amour
espace infini de tes lèvres à mes jours
Les branches silencieuses du nul ailleurs
ne couvriront plus les chairs
Bientôt
les roses cesseront d’épier ceux qui ferment les yeux
et simplement apprennent à rêver
.
. corinne cornec orieska
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