1 août 2007
La mort a son visage
Il était jeune et beau.
L’automne tiède caressait doucement sa nuque.
Son regard habillé d’eaux s’imprégnait de lueurs fauves
Il était jeune et beau.
La bouche avait mangé la terre
les yeux brûlaient d’écorces mauves.
La pluie.
Le sang.
La beauté de sa peau blanche.
Il était là.
Posé.
Seul.
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corinne cornec orieska
08/2007
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